celle qui revenait encore
Faisons comme si de rien, et oublions ces silences prolongés.
L'été revient, et avec lui les posts insipides à tendance névrotique d'une aduléfante en passe de s'assagir (le crois-tu vraiment ?)
Voici les mémoires d'une jeune fille de moins en moins en fleur, et toujours dérangée (Simone, Marcel, à vous et pour toujours), ayant planté ses chapeaux métaphoriques et ses lunettes improbables dans la riante station balnéaire de juan-les-pins, qui à mon humble avis doit quand même cacher des choses dégueulasses, et aussi le retour toujours du fond de mes pensées, de ces interminables périodes dont j'ai le triste secret.
PE-RI-ODE (prononcer le pe "pii" et insister sur le "ri" manger un peu le "ode" en le prononçant "aude")
Moins triste, Moins flottante, donc surement plus chiante, c'est le retour de Mi, le mien et juste le mien, car je ne pense pas que vous soyez très nombreux à ramener vos yeux de geeks par ici, dans tous les cas
BIEN LA VENUE, et surtout ne soyez pas short sur le timing
"et même si tu revenais
je crois bien que rien n'y ferais,
notre amour est mort à jamais
je souffrirais trop
si tu revenaiiiiiiiis"
l'homme qui se séchait les cheveux dans son bain